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La Fête du Diable est organisée chaque année dans le village de Hermée en Basse Meuse, le dernier dimanche d'octobre.
En 1879, le village de Hermée a été secoué par divers événements terribles et inexplicables, derrières lesquels ne se cachait pas le diable, comme les habitants le croyaient, mais bien Marèye, une fille de 21 ans délaissée par son prétendant.
Cette fête est basée sur l'histoire vraie de Marie la diablesse (li Diâle di Hèrmêye) qui a semé un vent de panique dans le village à la fin du 19ème siècle en faisant croire à la population que le Diable était parmi eux ...
Une étrange histoire qui aura notamment suscité la naissance de groupements bien dynamiques dans le village.
En 1990, le Centre éducatif du Val d'Aaz a fondé la confrérie « Li Djâle di Hèrmêye » pour faire revivre cette légende, et dynamiser ainsi la fancy-fair de l'école.
La confrérie conjure le sort et éloigne les maléfices par sa diabolique boisson «l descente aux enfers », qui a pour réputation de rendre enjouées les personnes qui la boivent. Par beau temps, la Géante Marèye accompagne ses Djâles et Djâblesses dans leurs escapades. Un cortège folklorique traverse les rues du village le dernier dimanche d'octobre lors de la « Fête du Diable » organisée par le Centre éducatif du Val d'Aaz.
Une journée qui fera revivre la légende de Marie la Diablesse à Hermée par un grand cortège folklorique dans les rues du village et de nombreuses activités pour petits et grands (ateliers créatifs, vieux métiers, citoyens d'honneur,
repas du terroir, soirée Bande à Lolo).
En 1879, le village de Hermée a été secoué par divers événements terribles et inexplicables, derrières lesquels ne se cachait pas le diable, comme les habitants le croyaient, mais bien Marèye, une fille de 21 ans délaissée par son prétendant.
Cette fête est basée sur l'histoire vraie de Marie la diablesse (li Diâle di Hèrmêye) qui a semé un vent de panique dans le village à la fin du 19ème siècle en faisant croire à la population que le Diable était parmi eux ...
Une étrange histoire qui aura notamment suscité la naissance de groupements bien dynamiques dans le village.
En 1990, le Centre éducatif du Val d'Aaz a fondé la confrérie « Li Djâle di Hèrmêye » pour faire revivre cette légende, et dynamiser ainsi la fancy-fair de l'école.
La confrérie conjure le sort et éloigne les maléfices par sa diabolique boisson «l descente aux enfers », qui a pour réputation de rendre enjouées les personnes qui la boivent. Par beau temps, la Géante Marèye accompagne ses Djâles et Djâblesses dans leurs escapades. Un cortège folklorique traverse les rues du village le dernier dimanche d'octobre lors de la « Fête du Diable » organisée par le Centre éducatif du Val d'Aaz.
Une journée qui fera revivre la légende de Marie la Diablesse à Hermée par un grand cortège folklorique dans les rues du village et de nombreuses activités pour petits et grands (ateliers créatifs, vieux métiers, citoyens d'honneur,
repas du terroir, soirée Bande à Lolo).
Fête du Diable - Li Djâle di Hèrmêye
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le blog officiel de la fête du diable en cliqant sur le logo
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À Hermée, une légende fait état de la présence du diable au sein du village. Ce dernier serait apparu à la fin du 19e siècle
sous la forme d’une jeune fille.
sous la forme d’une jeune fille.
La fête d’Halloween est l’occasion de revenir sur les contes et les légendes macabres qui peuplent la Wallonie. Si certaines histoires sont depuis longtemps oubliées, d’autres sont encore vivaces. C’est ainsi que chaque année, le village d’Hermée dans la commune d’Oupeye organise le dernier dimanche du mois d’octobre «la fête du diable».
Car c’est en effet à Hermée que le diable serait apparu pour la dernière fois en Wallonie à la fin du 19e siècle. Il rodait dans le village déguisé en jeune fille. Une histoire sur laquelle revient cette vidéo en noir et blanc de la Sonuma tournée en 1973. Des images qui démystifient cette légende aux apparences trompeuses.
Car c’est en effet à Hermée que le diable serait apparu pour la dernière fois en Wallonie à la fin du 19e siècle. Il rodait dans le village déguisé en jeune fille. Une histoire sur laquelle revient cette vidéo en noir et blanc de la Sonuma tournée en 1973. Des images qui démystifient cette légende aux apparences trompeuses.
