Gerris lacustris, Ciseau, araignée d'eau, patineur

Ce drôle d'insecte patineur, le Gerris lacustris, vit dans les ruisseaux, rivières, marres, étangs et même les piscines!

Très répandu en Europe, cet insecte faussement appelé "araignée d'eau" patine sur l'eau grâce au bout de ses pattes garnies de poils hydrophobes.

Cet insecte vole facilement et si il est attrapé trop brusquement, cet hémiptère peut infliger une piqure à l'aide de son rostre. Il se déplace très vite jusqu'à parfois plus d'un mètre par coup de palmes. La femelle donne naissance à 2 portées par an, et le mâle meurt après l'accouplement!

Insecte marron foncé aux longues pattes. La première paire est plus courte pour capturer les proies. Ces pattes antérieures sont nettement séparées des autres. Les ailes sont normales ou courtes. Les pattes et le corps sont couverts de poils huileux qui ne se mouillent pas.

Ils vivent en surface des eaux calmes.
Ils mangent de petits insectes. Ils glissent sur l'eau et peuvent bondir.
Ils se déplacent rapidement et de façon saccadée.
Rousserolle effarvatte

Mâle et femelle ont tous deux le même aspect. Le dos est brun uniforme, le cou, la poitrine et le ventre sont blanc cassé, et le croupion tire sur le roux. Le globe oculaire est cerné par une bande claire en forme de demi-cercle.

On trouve la rousserolle effarvatte dans toute l’Europe, à l’exception de la Scandinavie, du Moyen-Orient et de l'Asie centrale. C’est un migrateur transsaharien qui affectionne la végétation haute des marais, des étangs et des lacs telle que joncs,
roseaux, massettes ou même arbres de bord d’eau.

La rousserolle effarvatte est territoriale et vit habituellement en solitaire ou en couple. Cependant, en période de reproduction, elle peut nicher en petites colonies. Elle est d’une grande discrétion, mais elle émet des appels lors de ses déplacements. Lorsqu’elle est apeurée, elle déploie légèrement les ailes et relève la queue. Son vol est court et bas pour rester à l’abri
des roselières.

L’oiseau se nourrit d’insectes vivants capturés sur les graminées qu’elle parcourt avec agilité en montant et descendant le
long des tiges. À l’automne elle mange des baies pour constituer la réserve de graisse nécessaire à la migration.
Les nids en forme de coupe sont tissés autour des tiges des joncs ou roseaux à l’aide de brins d’herbe ou de feuilles. Garnis de laine, de plumes ou de radicelles, il abrite deux pontes de trois à cinq œufs (tachetés de sombre) par saison. L’éclosion
a lieu une douzaine de jours plus tard.
Le chant se compose de longues phrases plutôt rauques.
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