Bienvenue en gare de Houtain
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• De Riemst à Genk, le trafic voyageurs est surtout lié à la main d’œuvre des charbonnages campinois.
• De Riemst à Herstal, le trafic voyageurs est surtout constitué de navetteurs des industries Herstaliennes.
Le tram s’arrête à Malvoye, à 500 m d’une correspondance vers Liège par le tram urbain.
• 1918-1921 déterrage par les Allemands puis rétablissement.
• 1927 la ligne est prolongée jusqu’à Coronmeuse où les trams électriques urbains permettent de rallier Liège. D’importants travaux sont réalisés, notamment sous le chemin de fer. Glons – Liège, le tunnel construit à l’époque était encore utilisé par la circulation automobiles.
• 1959 dernier passage d’un tram entre Riemst et Liège.
• vers 1930 les trams à vapeur surnommés « tchouf - tchouf » font place progressivement aux trams à mazout ou autorails, appelés « pim pom » ou » trottinette ».
- 1938 électrification de Bassenge - Liège qui, via le pont Atlas, la ligne de Jupille électrifiée depuis 1920 et le
Pont de Bressoux, permet de rallier Bassenge à la place Saint-Lambert sans escale.
• 1948 électrification de Riemst - Bassenge.
• 1951-1954 suppression et démontage de Houtain - Vottem.
• 1958 remplacement des trams par des bus entre Riemst et Liège.
Genk – Riemst – Bassenge – Houtain – Hermée – Herstal – Liège
Date de naissance 1914. Trafics de voyageurs et marchandises
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Trams portant les numéros de série 10000 à ..... de cette époque
Du tchouf – tchouf au RAVeL….
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Ce RAVeL, relie le bord du canal Albert au RAVeL de Liers-Ans en passant
par le village de Houtain Saint Siméon.
(Il s’agit de ancienne voie du tram reliant Liège à Genk).
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Ancienne voie du tram Genk - Liège à Houtain
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Un ancien raconte…
Dans les années vingt, le train à vapeur comportait habituellement une voiture de première classe dont les banquettes étaient recouvertes de velours, plusieurs voitures de deuxième classe et en queue de convoi, un ou deux wagons de marchandises.
En seconde classe, les sièges étaient en bois et le plancher bien souvent jonché de bouts de cigarettes et de crachats, malgré l'avis affiché interdisant ce manque de civilité. Un petit poêle assurait le chauffage des voitures en hivers. Une banquette était démontée pour l'installer. On l'alimentait avec des briquettes, tâche qu'accomplissaient les voyageurs.
Lorsque le verglas couvrait les voies, les voyageurs descendaient des voitures pour pousser et aider la machine dans la montée de PONTISSE. Parfois, le convoi était retardé par le passage d'un troupeau ou le refus d'avancer d'un âne attelé à une charrette.